Un tour à L’ile des états

La belle histoire d’amour dont je parlais au précèdent post, commence déjà à s’effriter.

Le gros problème, c’est qu’elle a 2 boulots, donc peu de temps pour moi. Le matin un tour de bateau de 9h30 à 14h, puis l’après-midi, de 15h à 19h, ensuite, elle va travailler dans son auberge pour voyageurs en sac à dos. J'arrive quand même a la voir tous les jours, mais en coup de vent le temps éventuellement d’un bisou de bonjour ou de au-revoir.

J’en peux plus comme ça.

En 3 semaines de relation, on a juste mangé 2 fois chez elle, 3 fois à mon bateau, et quelques fois en coup de vent, sur son bateau entre 2 tours. Dans l’heure, de sa pause, il faut aussi nettoyer le bateau, les verres, refaire le plein d’eau etc. On a juste fait l’amour 1 fois chez elle, un après-midi, puis 1 semaine après au bateau. Une fois j’ai dormi chez elle dans un lit 1 place, à cause de la colocataire qui prenait le lit double, dans l’autre chambre.

Alors quel rapport avec l’ile des états ?

Le 21 Février donc demain, arrive Christine, qui à l’ origine j’ai contacté pour équipière.

Je l’ai vu juste 2 jours en prenant le bus pour faire 400km de Mar Del Plata jusqu’à Buenos Aires. Ou elle embraquait pour un convoyage, vers le Brésil. C’était sa première expérience de navigation de ce type. Mais ça s’est mal passé avec le capitaine, qui faisait la dictature sur la nourriture et l’eau ; et des quarts de nuits qui l’ont un peu refroidis de ce type de navigation.

Elle en a conclu qu’elle est plus à l’aise SOUS l’eau, que SUR l’eau.

En effet elle est monitrice de plongée professionnelle ; voyage beaucoup. Elle vient juste de terminer un stage pour Plongée avec des handicapés, a Buenos Aires, ou elle revient apres etre passé, par le Brésil en plusieurs endroits, dont également Fernando de Noronh; il y a 2 semaines elle était au Belize, en Amerique centrale. Ensuite aprés Ushuaia pour me voir 2 semaines, elle m'a parlé d'aller au Kenya.

Alors comment se fait-il qu’elle va arriver a Ushuaia ?

Eh bien, c’est qu’on s’est envoyé beaucoup d’e-mails, depuis 7 ou 8 mois. D’où ressort de l’énergie, de l’attention, des actions concrètes, de l’humour, au final une véritable amitié est née. C’est pour ça, ne l’ayant jamais vu en vraie, que j’ai été la voir depuis Mar Del Plata. Une nuit à l’hôtel, puis retour le lendemain vers L’amarante ou était restés Patrice et Loupy; Christine, très sympa m’a d’ailleurs payé la chambre, ayant pris une autre pour elle au lieu de retourner dormir sur le bateau, d’où elle allait bientôt partir.

Le 30 janvier lorsque je suis revenu de Puerto Williams pour rencontrer Laura, je lis un email de Christine, souhaitant après son stage de venir me voir a Ushuaia. Donc 3 semaines après. J’étais un peu embarrassé, n’étant pas sorti avec Laura encore, si ça ne fonctionnait pas avec Laura, je me retrouvais à attendre 3 semaines le cœur fendu.

Je tournais l’histoire sans savoir comment faire, car je me devais de donner des explications à Christine et a Laura. Comme Christine, n’avait pas pris le billet d’avion encore, je lui ai écrit le lendemain, que j’avais une copine en demandant si ça ne la dérangeait pas; Christine m’a répondu qu’elle était contente pour moi et m’a demandé si je voulais passer plus de temps avec ma chérie.

J’ai répondu qu’un couple moderne qui dure, se fait par la confiance et de liberté. Donc j’avais envie de revoir mon amie Christine, d’une part, et d’autre part Laura travaillant beaucoup, je ne peux pas faire QUE de l’attendre. Et au final, si ça ne conviens pas à Laura, c’est que ce n’est pas la bonne.

Alors pourquoi l’ile des états ?

Les endroits sympas de glaciers, ou la Caletta Olla, sont au Chili, donc faire une entrée au pays en retournant vers Puerto Williams. D’autres options comme le Cap Horn ça ne me tente pas vraiment.

Par contre l’ile des états (Isla de los Estados) m’emballe beaucoup, Rien que la forme de l’ile avec tous ces petits lacs me fascine. Pas d’habitants, juste 4 postes de militaires. En profiter pour aller voir « le phare du bout du monde », faire des randonnés, des journées tranquille à lire, en un mot enfin naviguer de nouveau, partager cette nouvelle expérience de vacances. Voguer hors de la vie citadine d’Ushuaia.
Compter 120 milles à faire en 2 jours pour y aller, ensuite disons 6 jours sur place et un retour en 3 jours.

Autre nouvelles fraiches, Hier Laura m’a dit que la Préfectura a demandé de loger a son auberge, un navigateur Belge qui a perdu son bateau. Ce matin je vois Bruno du voilier Petruchka, qui embarque un gars sur son Annexe…je me suis dit qu’il avait une tête à avoir perdu son bateau. J’ai demandé à sa Stéphanie sa femme, ce qu’il en était.

Le coup de vent dont on n’a rien vu a Ushuaia, qui devait durer 2-3 heures, a durée 24 heures à son mauvais mouillage. Il s’est retrouvé avec des creux de plusieurs mètres, pour finir tout a lâché, la chaine, le guindeau tout… (je reprends les mots de Stéphanie) et il s’est retrouvé échoué sur la plage. Quand même un drôle de coco, il n’a rien trouvé mieux pour appeler les secours que de déclencher la balise de détresse. N’avait-il pas une VHF ? La Précectura ne l’a pas laissé rester au prés de son bateau du fait de l’appel de détresse, du coup le pillage a déjà commencé.
Quand il était à Mar del PLata, on lui a conseillé de mieux préparer son bateau... Ceci explique cela.

L'ile des états a droite a 120 Milles d'Ushuaia.
En rouge dans la bahia Aguirre le voilier échoué d'Alex Van Cauwenbergh

Des cormorans de Magelans, qui veront atterir l'avion de Christine demain matin. D'autres animuax veront entre Camarones et Caletta Horna, en plein sur les terres de Florent Pagny, un éclipse total du soleil le 26 Février 2017.

Voila ou je passe chaque jour de longues heures, connecté a la wifi
(le cable bleu est l'amplificateur de signal fixé a l'exterieur)

Le journal Local d'aujourd'hui a fait un article sur 2 pages sur l'échouage du voilier  "Mira" de monsieur Alex Van Cauwenbergh, 41 ans. Il avait mouillé dans la baia Aguirre, ou j ai mouillé moi aussi en entrant dans le Canal de Beagle. Mais pour me proteger du vent d'Ouest qui est dominant. Par contre  pour se proteger du vente d'Est c'est pas bon.

A défaut de fournir une photo du voilier échoué ils en ont mis une de quand elle était dans un port.
Bruno m'a aussi dit qu'il n'avait plus de moteur et plus de pilot automatique...ca fait beaucoup.

3eme voyage en Antarctique saison 2016-2017 pour le voilier Russe "Peter the first"..
encore une photo de Денис Давыдов qui me scie completement

Laura

Apres 1 mois j'en avais ma dose d'Ushuaia, ma dose aussi d'aller draguer au Dublin presque tous les jours. Parfois d'en voir des plus vieux que moi, l'air blafard je me disais "Tu va finir repugnant et aigri par la vie comme eux". En plus de l'alcoolemie, ca fait un budget, de boire 2-3-4 pintes de bières a 85 pesos (5 euro) dans le bruit et la promiscuité. Arriver avant 22h30, est inutile et ennuyeux, - sauf y manger -  donc encore subir fatigue et gueule de bois le lendemain.

Des femmes à aborder il y en a toujours, cependant qui sont là juste quelques jours, ou pour qui je suis trop vieux, ou encore, bien que ça éveille la curiosité, n’ont pas envie d’un marin qui  tôt ou tard repartira.  Sinon pour discuter c’est toujours possible ; l’endroit est clairement favorable aux rencontres amicales, et ce dans la joie et la bonne humeur. Mais j’en avais justement ma dose des nouvelles rencontres, du provisoire et futile, fut-ce dans la joie et la bonne humeur.

J’aime beaucoup Laura, Je pourrais presque dire que je l’aime tout court ; moi elle me plaît de plus en plus ; Je l’ai rencontré dans ce pub irlandais, il y a 3 semaines, ou on est passé en fin de soirée avec les équipiers du voilier Pytheas. A l’esprit jeune, d’ailleurs plutôt jeunes et aussi un coté cool, alternatif, pas forcément si commun, chez les voileux.

Laura était là, dispartes, avec ses copines, le bar se vidait, il était tard dans la nuit 3 Heures ou 4, elle, fut enchanté de rencontrer des voyageurs en voilier, et m’a dit spontanément qu’il est difficile de rencontrer quelqu’un qui aime ça…Elle m’a plu dès le premier regard. Ça devait être réciproque, elle m’a demandé mon age et si j’étais Célibataire (on dit solitario en Espagnole, son nom se pronconce Laoura); comme elle en paraissait 35, j’ai dit sans réfléchir 42 alors que d’habitude je dis l’âge que j’ai (48) ; Sur quoi elle a spontanément répondu, « Esta bien yo tiene 41 ».

NB : Par difficile de rencontrer des navigateurs qui aiment naviguer, elle voulait surement dire, qui ne soit ni trop vieux ni trop jeune ; ni déjà marié et qui lui plaise aussi. En fait le même problème pour moi sauf qu’une femme dans ce cas est encore plus rare ; je dirai 5 fois moins.

Puis ses copines pressaient pour s’en aller. Laura m’a dit qu’elle partait pour une semaine et retournerai le 30 janvier. Je lui ai fait entrer mon nom dans son téléphone puis elle est parti. j’ai pris l’habitude de ne plus avoir de téléphone, j’utilise la messagerie facebook sur le l’ordinateur ou l'e-mail, que j'ai a bord connecté, grâce à mon amplificateur de signal wifi.

C’était pour ainsi dire ma dernière bringue avant de quitter l’Argentine et entrer au Chili à Puerto Williams. Puis de poursuivre mon voyage en remontant les canaux de Patagonie jusqu’à Puerto Montt. J’ai dit à Laura que j’attendrai qu’elle revienne. Une semaine en plus ou une semaine en moins qu’es ce que ça change ?

Pour bouger en voilier, au lieu d’attendre, et faire un peu d’argent je suis allé au Chili en embarquant 4 touristes (voir Publication Puerto Williams).

Puis le 30 j’étais de retour à Ushuaia. Messages avec Laura, puis rendez-vous pour manger à midi le lendemain.

Elle travaille comme équipière pour un bateau qui fait des ballades à la journée .En plus de la gestion d’une auberge avec 2 copines. D’ailleurs le bateau pour 12 personnes est parqué au même ponton que moi. Je n'avait pas vu, ou pas fait attention, a Laura avant la rencontrer au Dublin.

Le lendemain on a fait un repas rapide sur l’Amarante. Des tomates a la vinaigrette, de l’avocat et du pain; elle devait repartir pour un deuxième tour après 30 minutes.

Je dois dire que j’étais stressé ; j’avais envie que ça marche. J’ai trop raté de femmes a qui pourtant je plaisais, pour ensuite regretter en boucle de n’avoir pas fait le nécessaire. Non.  Pas encore cette fois ; Je suis retourné a Ushuaia, pour la revoir, même si ça ne fonctionnerai pas entre nous, je ne voulais surtout pas regretter.

Le soir j’ai fait un spaghetti bolognaise après son 2eme tour, j’avais téléchargé un album de Riff , lui ayant demandé de la musique d'Argentine qu’elle aime bien, On a mangé, on a bu des bières, on a bavardé ; je me disais qu’il faut qu’on s’embrasse…il faut le bon moment mais quand es ce le bon moment?  Je ne dois rester concentré et détendu. On se touchait gentiment et naturellement, restant prés l’un de l’autre ; le feeling était bon. J’aime le son de sa voix ; c’est important, on ne le dit pas assez.

Puis elle m’a dit devoir bientôt partir, pour le lendemain se lever tôt…Je me suis approché d’un élan qui fut impeccablement réceptionnée. Une bonne embrassade a pleine bouche ; dont le gout bière, nous était commun.

Je l’ai accompagné, elle a dit qu’elle prenait un taxi ; j’ai été avec Loupy a la centrale dans l’avenue principale San Martin; un baiser d’au-revoir ; on se contacte me dit-elle.

J’étais content. Enfin une copine j’en avais assez du célibat, rien depuis Elina ; je souhaitais avoir une petite histoire d’amour avec une Argentine, y ayant passé 4 mois déja; le lendemain on s’est vu sur le ponton rapidement, un bisou sur la bouche, en signe d’union, c'est toujours rassurant, surtout au début. Puis le soir je lui écrivais ; et lui demandais ce qu’elle faisait. Elle me dit qu’elle est invitée chez des copines.

C’est si fragile, une relation au début, ça peut capoter pour un mauvais regard, un mot qui vexe, le manque d’attention au mauvais moment où au contraire étouffant sa liberté… Je me sentais un peu inquiet ; je voulais presque insister ; mais je me suis calmé ; je dois lui faire confiance.

Le lendemain ou le surlendemain, elle m’a demandé par message, si je veux manger chez elle à midi. Les messages sont succincts, pratiques.

Elle a dit vouloir encore 2 choses dans sa vie : Naviguer de par le monde et un autre enfant, ayant une fille autonome de 19 ans ; sur quoi j’ai dit spontanément « avec moi », j’en ai pas ce serai merveilleux.

J’ai apporté des bières. De chez elle au-dessus du centre-ville, qu’elle partage avec une femme souvent absente, une vue sympa sur les montagnes, et en partie la baie. Elle est sorti chercher un poulet roti; elle est a Ushuaia sainsonniere habitant Mar Del Plata.

Apres le repas, elle se disait fatigué et j’ai trouvé ça bien aussi qu’on fasse une sieste, les bras l’un dans l’autre, sans se déshabiller ; Se blottir en amoureux quel délice, ca faisait longtemps.

Apres 1 heure ou deux de sieste; Je souhaitais plus de Laura contre moi; je lui ai fait comprendre gentiment mon désir pour elle, par une main douce et un baiser prononcé.

Je serai tenté de raconter la suite, mais comme ce blog est public, je me dois aussi de préserver l’intimité par respect pour Laura.

Laura avec son chien de 11 ans Otonio.

 Derriere Loupy qui aime prendre le soleil; Harmattan le voilier de Jean Louis Clemandot; monsieur voilier Dialyse. Il a poursuivi hier vers les canaux de Patagonie, Chiliens; en retournant d'abord a Puerto Williams.

J'ai passé 2 jours a lessiver a l'eau chaude, toutes les banquettes du carré, rincage intensif, puis 2 jours de séchage. La difference est énorme. Je les avait refait en Colombie fin 2014. 2 jours de séchage; ici la moité des banquettes.

Laura, moi et Loupy, dans le carré (avant le nettoyage des mousses)

Laura et Victor, le capitaine du Tango.

Laura m'a invité a faire le tour toujours le meme; c'etait une journée magnifique.

Pour 70 euros, Le tour fait 3h avec un débarquement sur une petite ile tres jolie,
et boissons offertes; thé ou café puis biere sur le retour.

Le Tango est fait pour 12 personnes, cette fois ils étaient 5 clients (Moi non compté vu que je n'ai pas payé.)Il en faut au moins 4 pour qu'ils fassent le tour. Une femme vends les tours vers les cabannes pres de l'arrivé de navettes, ou les autres ont leurs vendeurs aussi. il y en a beacoup. Laura travaille sur l'un de plus petits. suivant le nombre de clients ils font, 1 ou 2 tours chaque jour, ou pas du tout ce qui arrive aussi.

Retour a Ushuaia

Cette fois je n'ai pas d'inspiration pour écrire. 

Donc uniquement des photos et les légendes qui vont avec.

Et me revoila sur le ponton du Club Nautico de Ushuaia, en arrivant j'ai eu l'impression de retourner a la maison; cette fois coté vent dominant; mais c'etait plus facile en arrivant et de l'autre coté ca obligeait d'etre a couple. j'ai embarqué 2 touristes au retour...mais ils m'ont a l'oeuil pour la prochaine fois: ils ne veulent plus de voiliers a but lucratif a Puerto Williams.

Un BBQ organisé le 5 Février. Les bonnets sont sur la tete par habitude, il faisait pas loin de 20° et soleil toute la journée. Derriere le catamaran Milo One, qui navigue depuis 11 ans déja; leur fils avait 6 mois quand il a embarqué. Cette fois ils passent par le grand Sud.

Puerto Williams au bord du détroit de
Beagle. Le Club Nautic Micalvi est dans le petit bras de mer en bas a gauche.

Sur le chemin pour monter au drapeau, rando tres agreable a faire. Ca prends 4 heures aller retour depuis le Club Micalvi

Vue sur le détroit de Beagle; en Face l'Argentine, au fond Ushuaia.

La Municipalité de Puerto Williams organisa un Barbeque, avec viande offerte au parc Ukkika.

Le Yaghan, (du nom des peuples nomades au sud, du canal Beagle, qui utilisaient des barques faites de branches et d'écorces pour aller d'une ile a l'autre. A voir au tres beau musée d'Antropologie Martin Gusinde) est un bac qui va de Punta Arenas a Puerto Williams une fois par semaine. Le trajet dure 36 heures.
J'ai demandé aux ouvriers qui travaillaient a la construction de cette longue berge en béton "vous travaillez le dimanche?" ils m'ont répondu qu'ils travaillent 20 jours d'affilée puis ils retournent chez eux 10 jours a Punta Arenas.

Le yaghan embarque au maximum 65 passagers. A gauche les containeurs frigoriphiques qui livrent une fois par semaine. Rush sur le frais le Samedi.

Anniversaire de Hans qui fetait ses 76 ans dans son bateau; il a fait un repas digne d'un resto 4 étoiles.
Il était chef cuisine avant sa retraite.

Mon prototype de régulateur d'allures; et une des 2 bobinnes de 110m de bout de 12mm.
Par la suite j'ai déplacé le moteur hors bord et mis l'autre bobinne, symetrique de l'autre coté.

Ce panneau devant l'entrée du port de commerce tout ce qu'il y a de plus officiel.
"Interdit d'amarrer aux navires des pirates Anglais"

A gauche du casino en face du club Nautico il y a un parc commemoratif de la guerre des malouines. il y en a de nombreux en Argentine ainsi qu'a son appartenance, comme le nouveau billet de 50 pesos. ICI une flamme perpetuelle, Avec le nom des 649 morts Argentins.

Un des panneaux de photos: Le Belgrano le 2 mai 1982 a 16H suite au torpillage par un sous-marin nucléaire Anglais. 2 torpilles le fit sombrer en quelques minutes.  Faisant la moitié des victimes Argentinnes a elle seule (300). Cette guerre qui ne dura que 2 mois et demi, fit 649 morts Argentins et 258 Anglais, (3 civils seulement). Pertes de navires: 9 Argentins, 7 Anglaises. pour les détails: https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_des_Malouines


Pour les voileux qui utilisent OpenCPN ou qui veulent le faire mais qui n'ont pas de cartes, voici un lien qui vous permet de les télecharger: Aller dans  CM93 nouvelle compilation janvier 2017. Merci a Pierre Lavagne pour ce travail.
http://pierre.lavergne1.free.fr/special_voileux/Open%20CPN%20et%20Google%20Earth.html