samedi 2 août 2014

Tobago porte des Carraibes

Traversée de 450 milles, de Paramaribo (capitale du Surinam) pour l’ile de Tobago, tout a fait en bas de l’arc Antillais ; compter 4 jours, vents prévu par les fichiers Ugrib récupéré dans un bar wifi : grosso modo force 2 a 3 en travers. On y Vois également une naissance de dépression cyclonique à 700 milles au large de la guyane, qui grossit et arrivera sur Grenade et les Grenadines le week end, (Tobago est juste dessous), j’éspère que Thierry et Krystel de Gamin 5 que je vais y retrouver vont le voir aussi (comme j’ai récuperé les Ugribs sans les regarder en détail, je n’ai pu leur envoyer un message). Départ lundi 28 juillet 2014 au matin, après avoir bien dormi jusqu’a 8 heures, sans aucun stress de départ, puisque je n’y étais que depuis 3 jours, je me lance tranquillement vers la descente du fleuve Surinam, avec la marée qui est redescendante jusqu’a 12H30 ; donc que le courant pousse pour faire les 15 milles jusqu’à l’embouchure ; En arrivant, à Paramaribo sachant que la marina, est 25km en amont du fleuve, J’ai tenté de m’incruster près de la ville ; en demandant a 2-3 bateaux de la zone pour me mettre a couple ; n’a accepté que les Brésiliens, (jusqu’a ce qu’un autre bateau Brésilien eu besoin de s’y mettre ; je me suis ensuite mis contre cette vedette genre militaire fraichement désaffectée. Accroché a des pilliers sans accès au bord, avec l’avantage que personne ne peux y arriver sans barque). Je me dis que c’était bien joué de m’être amarré à couple de cette grosse vedette militaire désaffecté en pleine ville ; je pouvait envisager d’y rester plus longuement; mais y faire quoi encore ? Chercher le joint torique de pompe à eau qui fuit ? faire le remplissages des 2 bouteilles de gaz 3kg, que je n’ai vu nulle part ? le plein d’eau ? Tout ca demande du temps, et rien ne presse, je ferai ça ailleurs et puis pour avoir des dollars surinami je doit changer des euros ; les distributeurs de billets ne prennent que la master card ; c’est la première fois que la visa ne marche pas ; Brésil, Maroc, Cap vert c’était impec avec la carte visa. Y rester plus longuement, demande peut être de faire des formalités : Je n’y ai fait aucune démarche auprès d’autorités. Donc je large les amares, Je salut les Brésiliens et entamme la descente. Je repense a mon tangon en babou ; le 1er avait resisté assez bien en fonction bout dehors, jusqu’a une bourrasque nocture lors du trajet cap vert, brésil, le deuxième que j’ai trouvé vite fait a Cayenne semblait bien et plus gros, surement a carcasse trop fine, il cassa rien qu’a la trension du foc, lors du trajet depuis st laurent du maroni. Sur le bord il y a divers petites industries, scierie, pèche ou je pourrait trouver un tube, en galave ou alu. Cette fois j’abandonne le concept bambou. Je longe le bord, puis une forêt genre mangrove et un autre arbre qui pousse plus droit avec lequel cohabite les mangroves devrai faire l’affaire. Je m’approche du bord pour jetter l’ancre mais bizzare je me plante dans la vase, alors que la sonde indique 2m sous quille, mais a mieux y regarder LAST clignote, pour dire qu’il n’a pas de valeur immediate a afficher, surement due au fond de vase souple. Bref je met marche arrière a pleine puissance, fait bouger le safran d’un coté à l’autre pour que le bateau se débloque de la vase ; ça ne vient pas et je commence a m’inquièter,car la marée va descendre de plus en plus et que le temps joue contre moi, je m’étais coincé sans grande vitesse, donc j’étais confiant. Une fois décoincé, je m’écarte un peu et jette l’ancre, je remet l’annexe a l’eau que je n’avait pas dégonflé exprès pour un tour éventuel a terre ou plan « jungle » pour me changer du centre ville, avec ses casinos, ses petits bordels, toutes sortes de marchands et commerces, quand même une belle ville dans le style coloniale, avec du moderne de bon gout, des gens sympa qui parlent tous le hollandais, et sans insecurité. J’y ai fait quelques courses, été faire une sortie le vendredi soir avec un taxi qui m’apporta directement dans un bordel, j’avais dit un bar/dancing sympa avec des filles, on s’est mal compris et je ne pouvait m’empêcher de m’inquièter pour mon annexe, je lui dis de me ramener ; il m’arnaque sur le prix du taxi ; tant pis, il m’avait forcé la main. Le lendemain soir je refais une sortie genre quartiers un peu ghetto avec un rasta sympa rencontré l’après-mide qui parlait bien le français, (avec cette fois non stresse pour l’annexe, un arrangement avec les brésiliens me déposent au bord.)...Bref ça c’était avant hier. Donc a peine parti et déja ancré pour chercher un arbre a tangon, je met les bottes, embarque Loupy et la machette acheté a cayenne et affuté par Eddie ; Dans la boue je choisit mon arbre, la machette entaille bien, pourtant le bas du tronc fait bien 10-12cm de diamètre. Une fois abattu, j’enlève directement l’écorce pendant que Loupy fouine des bestiolles comme un porcelet dans la boue. C’est a l’ombre, sympa et pas de moustiques, je me dis même que rien ne presse et qu’une journée de plus...puis je vois le courant qui se renforce, je m’active et retourne a la pagaie jusqu’a l’Amarante ; j’ai bien failli ne pas y arriver, à cause du courant et du tronc a bord. Si je ratais il aurai fallu repagayer au bord puis remonter le long du bord et se mettre plus en amont... Nettoyage de Loupy et de la boue ; je remonte l’ancre ( merci guindeau éléctrique qui marche toujours à merveille) et reprends la sortie vers la mer. A l’heure que j’écris il est 19H le soleil s’est couché, l’Amarante par vent de travers voile reduite au premier ris, avance a 7 noueds, aidé par le courant. On a fait plus de 50 milles déja, l’eau est redevennue bleu, il n’y a aucun chalutier depuis longtemps, je vais plus tard pouvoir dormir tranquile en comptant sur l’alarme de l’AIS s’il y a un cargo ou un ferry au large ; Ça c’était hier ; j’ai bien dormi bien qu’un peu trop chaud. Lorsque j’écrivit ce qui est écrit ci-dessus assis a la table a carte, l’Amarante se mit a giter, et a accelerer,cela progressivement déja depuis un moment, mais voulant finir le text, il fallait s’en occuper, j’abats sur le pilote en poussant -10° vu qu’il était trop au pré et le cap mauvais...bip bip off course ! je reprends par standby, puis remet auto, eh non, Ça y es le problème de pilote in-bord reprend, c’est encore la fixation sur la mèche de safran je le vois a l’angle de barre sur l’afficheur ; J’en profite pour dire que les essais de régulateur d’allures fraichement installé, ne sont pas si concluants ; difficile a stabiliser, la partie immergée passant brusquement d’un côté à l’autre, avec la même réaction sur la barre. Les zones de courant lors des essais, faussent peut etre son éfficacité ; il faut du temps et c’est fait pour quand on est bien loin des côtes, puisqu’il suit le réglage du vent. Donc il fait nuit ; je ressors le ST1000 ; On ne profite pleinement qu’avec les maintenances et les réparations quasi permanantes, qui font partie intégrante de la vie en voilier. Les placards et tiroirs d’outillages, les réserves de fils,de boulons,de bouts d’alu ou inox. Tout doit fonctionner, sinon comment naviguer zen sur des longues distances, et le double en réserve aussi ; comme par exemple le 2ème ordi non utilisé et prêt a sortir. Et vaut mieux ; je n’ai aucune carte papier des zones actuelles. Les 2 pilotes auto aussi doivent marcher.... Autres travaux a faire : - Depuis les pluies de la Guyane, (qui ont cessé avec la saison dite sèche, de juillet a Novembre), la girouette/anémomètre éléctronique ne marche plus. - Le moteur va très bien à part une fuite de la pompe à eau ; surement le joint de l’axe, l’eau goute dans le reseptacle sous le moteur qui fini par débordeer et aller vers la pompe de cale. - Le joint sika entre la quille et la coque n’était plus étanche depuis surement le départ, ça fuit un peu autour d’un boulon de quille, le cas de ce joint avait été laissé pour la prochaine sortie de l’eau ; a prévoir avant de traverser l’Atlantique dans l’autre sens, qui peux bien bastonner Contrairement à l’alizé, qui est previsible et régulier. - Les rivets des éléments de l’enrouleur de génois ont pris de plus en plus de jeu, il faut tous les reprendre, c’est un travail compliqué; le mieux serait de déposer l’enrouleur entièrement et faire ça au sol ; je ne sais pas du tout comment faire. Le lendemain opération remise en état du pilote in-bord; déplacer le très lourd radeau de survie, démontage du panneaux arrière, cette fois c’est les vis des pates de renfort qui se sont arrachés de la partie en fibre de verre sur la mêche de safran, qui a l’avantage d’être sur un diamètre bien plus grand que la partie juste au dessus en inox sur quoi est serré le bras du verin. Tête a l’envers allongé sur le dos, Je le repositionne puis resserre les 2 vis des demi lunes avant de voir pour le revissage des renforts. < Zut une des vis casse ; bon on va revoir tout ça ; plus tard, j’ai démonté le tout, sortie facilement la partie cassé dans le filetage, et coupé et mis en place 2 tiges filetés à la place des vis d’origine. Mais pour bien faire il me faut une cornière un peu plus longue, au lieu de rafistoller ;Boulot a finir en arrivant à Tobago. Journée de navigation temerature 30°, pas humide, soleil, quelques petits nuages, un peu de vagues et de vent. A minuit je me couche apès avoir joué un peu de guitare et continué la lecture de « Fille de Déstin » de Isabelle Alende, un livre récuperé à la marina de Cayenne. 3ème jour ; L’amarante a navigué, toute seule comme une grande, réveil vers 8H, pas d’alarme d’AIS, pas de gite bizzare ou claquement de voiles qui reveillent ; le pilote ST1000 fait bien son boulot avec très peu de mouvements sur la barre ; c’est même surprenant comme il fait ça bien, une fois les voiles bien réglés. La journée très agréable est vite passé, navigation toutes voiles dehors, très confort par un vent de force 2 de travers virant au pré bon plein, régulier sans houle ni claquements de voile avec prèsque toujours 5 noeuds de vitesse et quasiment pas de gite ; Loupy a fait sa vie dehors en toute zenitude.. J’ai cuisiné, nettoyé, essayé le tronc bout dehors avec une trinquette en avant du génois. Puis Continué la lecture, et d’un peu de guitare, juste aussi simplement apprecier le coucher de soleil...On a bien avancé il ne rèste plus que 150 milles jusqu’a Tobago, arrivé demain forcement de nuit, j’éspère arriver avant minuit. 3ème nuit en mer, On a bien avancé : 65 milles parcourus de minuit a 9H, j’ai juste été reveillé à 4H par les vagues, verification sur l’ordi, petite correction de cap juste 3°, un aspro contre le nez qui commencait a couler et pour bien dormir ; Retour au lit mais au lieu de la cabine avant vers celle a l’arrière gauche ou était Loupy. Reveil a 7H ; pas eu ma dose encore, et c’est reparti pour un dodo jusqu’a 9H. Pour passer entre l’ile de Tobago et Trinidad prèsque collé au Vénezuela, y a bien de cargos sur l’AIS, d’abord un du nom de Platon, qui me suit depuis une demi heure qui va a la nouvelle Orléans, Ensuite le Pedhoulas Mercant qui arrive de face qui est attendu a San Nicola d’Argentine dans 15 jours. Toutes ces infos ainsi que cap et vitesse sont reçus par l’antenne de l’AIS via les ondes VHF. J’émet également ces infos puisque j’ai un emetteur/ recepteur (également un recepteur seul avec alarme incorporé le RC-10 ; l’autre AIS qui est aussi emetteur a besoin du programme openCPN et l’ordi allumé pour que la fonction alarme fonctionne). les 2 cargos sont maintenant bien visibles puisque ils ne sont qu’a 1 et 2 milles, plus encore un autre derrière, le Volme, qui sera a Altamira le 10 Aout. Plus que 62 Milles jusqu’a Scarabourough à Tobago ; il est 11H si on compte 5 noueds de moyenne, bien qu’actuellement on va à 6 et + ; 62/5 =12,4H de nav, prévoir d’arriver vers 23H. J’ai vu sur google earth qu’il ya un quai de plaisanciers et ponton, mais aussi quelques voiliers au mouillage ; a voir en arrivant. 15H L’Amarante avance bien, 7 noueds parfois 8 , surement grace a un bon noeud de courant comme indiqué sur le pilote chart ; on voit l’ile ;il rèste 35 milles ; il n’y a plus de cargos, je me demande pourqoui ; surement la loi des series...Je ne ressens pas de plaisir particulier d’arriver : tellement agréable ces quelques 3-4 jours de navigation que quelques jours en plus ne m’aurait pas dérangé. 16H15 le vent mollit un peu ; j’allule la radio FM pour écouter ce qu’il y a, on capte beaucoup de stations, du bla bla en anglais local, funk salsa, de la rap dance, du ragga, pop d’inde. Le ciel s’obscursit progessivement, puis pluie passagère. Puis trou de vent voiles qui claquent, je scrute l’horizon autour, ça bouge pas ; vaut mieux mettre ¼ d’heure de moteur pour en sortir que d’y ramer 1H ; puis le vent revient. Plus tard à 19H ; il fait bien jour encore juste 12 Milles à faire le vent se renforce ; j’enroule du genois ; abats pour laisser passer ; ça se renforce ; J’enroule encore ; puis je met le 2ème ris, Pour barrer a la main ça va mais le st1000 ne peux suivre les bourrasques, j’affale carrement la GV, voyant un gros nuage de pluie arriver derrière. Bien venu aux carraibes... Ça y es ; c’est passé prèsque plus de vent et un chant de bataille de vagues entrecroissées. Pas la peine de remettre la GV, Je deroule complètement le gênois pour finir les 10 milles. 20H15 il fait prèsque nuit plus que 2 milles, aux lumières la côté ressemble de nuit aux cannaries ou la côte d’azur, on sent à l’odeur que les poubelles sont brulés. Deux pare battages de mis, une amarre devant et un derrière préparé pour l’appontage ballade de la chienne. On avance toujours au gênois seul, qui est rapide a enrouler. La visée est droite, il ne faut rien contourner, juste une digue à l’arrivée. Au bout de la digue un batiment genre capitainerie, je vois des gens qui me regardent arriver, j’approche pour m’y mettre ; c’est les gardes côtes qui m’indiquent d’ancrer un peu plus loin et d’aller voir aux douanes. Le mouillage est très calme, près du bord avec un ponton barques de pêche pour mettre l’annèxe qui inspire confiance ; je le déroule et commence à le gonfler avec le petit gonfleur éléctrique. Un gros ferry catamaran rapide marqué T & T express, arrive et manoeuvre. Trinidade et Tobago est 1 pays qui s’appelle justement Trinidad and Tobago ; Langue officielle l’Anglais ; Une fois au bord il n’y a pour ainsi dire que des noirs ; y compris dans les belles voitures qui embouteillent suite à l’arrivé du ferry. J’ai pris Loupy et la carte Visa ; YES, ça marche ! mais je vais retirer combien ? Je n’ai aucune idée du change ; je demande à une marchande qui range son petit stand, le cours approximatif ; elle me sors un journal et m’ouvre la page avec les cours : en gros 1 euro= 8 Dollars Central Bank of Trinidad and Tobago ; j’en tire 1000 de ces dollars qui, rappellent ceux des USA, pour le style graphique ancien, pour la forme très allongé et pour la même taille quelle que soit sa valeur. Tiens sur le billet de 100 il y a un puits de pétrole off shore ; ben oui, les puis sont positionnés sur openCPN à l’ouest de Trinidade ; En remplissant 33litres en bidon pour 50 TT comme ils disent (prononcer titi comme titi et gros minet) ce qui fait le litre de gazoualle à même pas 0,2 euro !! Impossible ce 1 er Aout de trouver de l’internet : Rien dans les bars, pas de carte sim a acheter, c’est congé genre sainte thèrese ou une autre dame envoyé par Dieu. Même la douane est fermé ; j’ai voulu y aller ce matin en prenant bien soin de pas y aller avec Loupy. (Au cas d’une loi de quarantaine foireuse d’origine Britannique.) C’est tranquille et les gens sont sympas, et personne ne m’a pris pour un pigeon comme au Surinam. Quelqu’un ma dit qu’ici à Tobago (pour eux) on n’a pas le droit, d’avoir de chemise militaire, ça ne se vends pas, j’ai reçu des offres d’achat pour ma chemise, que j’aime bien pour les poches et qu’elle est bien propre, sans coller trop a la peau comme un T-shirt ; En Guyane (et au Surinam), le style chemise ou short militaire est courant, et ça se vends: Pour avoir bien fréquenté Eddie,( et sa femme Claudia et de leur fils de 7 ans Angélo) à la marina de Cayenne, je me suis « Guyanisé », chemise et t-shirt millitaire,une machette pour la jungle et encore un peu plus j’achetais une 22 long riffle. En Guyane la législation sur les armes est cool, juste une pièce d’identité, pas de permis de chasse, pas de période non plus, chasse ouverte toute l’année. Certains ont un arsenal a bord de leur voilier. J’ai quand même bien réflechi et demandé ; Les douanes demandent si on a des armes ; on peux en avoir, mais il faut les déclarer et même parfois les remettre aux autorités, qu’on récupère en partant. Ensuite pour se défendre de pirates par exemple, ça peux vous sauver, comme on peux se faire descendre de plus belle, justement par ce qu’armé. Quand a tirer de pauvres animaux sauvages qui ont déja la vie dure, sous couvert de manger, ça me dis rien. Autre option : A l’armurerie de Cayenne « chasse et pèche » ou j’ai accompagné Eddie (surnommé Indiana Jones ou Crocodile dundée bien qu’ Espagnol sans ressemblance à part le couteau qu’il fabrique et vends, ainsi que le chapeau qu’il ne quitte jamais ) Une belle vitrine avec des copies d’armes de commando en tout genre, ça tire des billes en platique par air comprimé ; 100€ pour un UZi , 250€ pour un AK47, Famas, Kalashnikoff ...et jusqu’à 600€ pour un lance roquette (avec la roquette dedans bien sur) ; effet visuel garanti ! Samedi 2 Aout ; cette fois je vais bien trouver de l’internet ; je pense a acheter un sim avec connection 3G ; C’est l’industrialisation qui s’affine ; la disparition des cyber cafés. Depuis hier soir déjà, des perturbations due à la dépression cyclonique font que le mouillage n’est plus calme mais avec un bon roulis et des coups de vent de temps en temps ;
J'ai changé de mouillage et été du côté sud ouest de l'ile ou sont les autres voyageurs a voilier; c'est bien Tobago. Sans autre référence des Carraibes mais surement avec tous les bons côtés, sans les tempêtes tropicales.
 

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